[Z] Fiche personnage Regulus

ENFIN *meurt*
_{Merci les artworks de Fire Emblem et MERCI internet pour tout ce que tu peux fournir
Oui, c'est un kiwi. Oui, ce kiwi viole ton âme.}

Et là je prie pour pas que la compression rendre un truc dégueulasse... Ca m'apprendra à dessiner sur genre du 5000*5000 ahahahahah/PAN/

 Update: Âge


-----------------------

 _{Prénom et Nom : Regulus Quin-Decim
 Taille : 1m86}

_{Poids : 85 kg}

 _{Âge : 22 ans
 Anniversaire : 7 Août
 Signe astrologique : Lion
 Situation : Officiellement en couple avec Diala depuis le 11 Juillet 2015 GUYS THIS IS CANON!} 

_{Orientation : Y a pas plus hétérosexuel et hétéroromantique.
 Seiyuu : Nojima Hirofumi (Sisyphe du Sagittaire, Hoshimura Junichiro, Kuran Haruka, Izuki Shun)}

_{Thème song : « Sayonara dake ga jinsei da » - Vocaloid}

Pokemon : Flambusard

« Exalté par un combat sans merci, il s’envole en semant dans son sillage les escarbilles du feu qui couvent dans son plumage. Quand il s’abat sur ses proies, sa vitesse dépasse les 500 km/h. Il les achève d’un puissant coup de serre. » 

Type : Vol/Feu

Nature : Brave

Level avant Zanuelle : 67

Evolution : Au niveau 17 en Braisillon à 10 ans, et au niveau 35 à 15 ans

Attaques :  Aile d'acier / Déflagration / Surchauffe / Vol

Capacité spéciale : Corps ardent : Si l'adversaire attaque directement, il a 30% de chances d'être brûlé

Particularités :

• Il a voyagé un peu partout, surtout à Unys, avec ses parents. Il lui arrive d'ailleurs de s'exprimer en Anglais, c'est la langue qu'il maîtrise le plus en plus de sa langue maternelle.

• Il a un tatouage, qu'on peut observer entièrement s'il daigne déployer et étendre ses ailes.

• C'est un otomen. Un pur, un dur. Mais il essaie de ne pas le montrer, et ses parents ont d'ailleurs tout fait depuis son enfance pour qu'en plus de la couture, la cuisine et autre, il maîtrise des activités « masculines », notamment les bases du kendo et de la boxe, d'où son expérience gagnée. Il aime également faire du sport pour le sport.

• Lorsqu'il est effrayé, sa voix monte étonnamment dans les aigus de façon très virile.

• Il a deux rires différents : celui où il rit parce que quelque chose est drôle, et celui où il rit parce que ça l'arrange. Celui là, il fait « HIN HIN ».

  P R O F E S S I O N 

Facteur à la poste Fossile-Express. A la base il ne savait pas trop quoi faire malgré tous les choix de métiers so girly qui lui chatouillaient les narines, mais pour affirmer sa virilité, et vu qu'il a des ailes... 

  A P P A R E N C E 

Regulus possède un tatouage qui lui prend tout le dos, les épaules et les bras jusqu'à ses mains (sérieusementpourquoij'aifaitça,plusjamaisnomdedieu), qu'il a fait faire après la promesse de ses parents de le laisser vivre seul, et qu'il vous montrera soit si vous êtes très chanceux, soit si vous êtes un « chosen one ». Il a un style vestimentaire qui varie et tend vers le Visual Kei ; tout est bon pour cacher son côté otomen. Ses grandes ailes sont un peu problématiques pour ses vêtements, mais il s'adapte ; il les étend rarement sauf s'il doit voler. Il est naturellement roux mais IL A UNE AME. 

  P E R S O N A L I T E 

- Il a évolué et il en est fier.

- Il ne croit pas aux fantômes.

- Il est très peu douillet, ce qui lui a permis son tatouage.

- Le sucré, c'est sa vie, mais il ne l'admettra pas.

- Tout ce qui est tout petit ou tout mignon, c'est aussi sa vie. Surtout les lapins et les pandas roux. Et les loutres. Oh god, les loutres.

• Il aime le kiwi. Genre plus que Turk. (TMTC Sally)

• Il est végétarien. Hors de question de tuer des animaux et de les manger </3

• Parfois, il y a une sorte de monologue qui s'installe dans sa tête. Et tant qu'il n'a pas fini de rêver éveiller, il ne fait plus attention à ce qui l'entoure.

« Too hot, hot damn. »

Regulus est fier de ses évolutions ; il a travaillé dur malgré ses goûts très peu porté sur le combat, à la base. A force, il a réussi à développer un léger goût pour cela et le sport, malgré tout. Il est surtout content de ne plus ressembler au môme qu'il était, et il aime ce qu'il est devenu. Grand, bien dans sa peau, il peut à présent faire un peu ce qu'il veut de son corps. Notamment coudre et faire un footing en musique s'il le souhaite. Il est polyvalent, et ça lui plaît. Finalement, l'acharnement de ses parents pour l'initier à des activités plus viriles que ce qu'il souhaitait n'aura pas été vain. A présent, il est « hot » dans les deux sens du terme (corps ardent, rpz), mais pas pour autant du genre à s'en vanter. Il se plaît comme il est, mais pas de là à clamer qu'il est le plus beau.

« KA KA KA KAWAII »

Vous l'aurez compris, il est incapable de rester de marbre devant quelque chose de mignon. Peluches, animaux, personnes, tout le monde aura sa peau. Il doit se faire violence en public pour ne pas laisser ressortir son côté otomen, et pourtant, qu'est ce qu'il ne donnerait pas pour pourvoir caresser les chatons dans la rue et se balader avec des peluches de lapin sur son sac... Malheureusement, ce genre de petits plaisirs, c'est bon pour sa maison. Secret à garder. Les hommes font des choses viriles, on lui a dit, nom de dieu. Il lui arrive d'ailleurs d'avoir à frapper dans un mur pour se sentir « manly again ».

« Tunak Tunak »

C'est un grand passionné de musique, un peu tous les styles d'ailleurs. La journée est musique. La vie est musique. Tout ce qu'il fait, ou presque, il le fait en musique. Cuisiner, coudre, livrer le courrier, prendre son bain, dormir... Il n'y a que quand il n'est pas seul qu'il est suffisamment poli et socialement convenable, et donc qu'il ne se permet pas de garder ses écouteurs. Car oui, le Regulus est un animal sociable, qui aime rendre service de temps en temps et qui dépense son argent partout un peu trop souvent. Seul dans les confiseries, et entre amis dans les restaurants, par exemple.

« It's not the eyes you feel that's chilling you »

Le moineau n'est pas un grand froussard ; les fantômes, il n'y croit pas, la douleur, il ne la craint pas. Tant qu'il n'est pas en danger extrême, peu de choses lui font peur. Excepté les cloportes. S'il en voit un seul, même mort, il se met à hurler comme une petite fille, s'enferme dans la pièce la plus proche ou s'envole. Il est également très très facile à surprendre. Surgissez subitement d'un coin, et il se mettra à nouveau à hurler. Les jumpscare, ça marche à mort sur lui. A mort. Jack in the box ? Vous l'aurez à chaque fois. Si vous avez envie d'écouter sa mélodieuse voix de crécelle dans ces moments là, allez y, c'est gratuit !

_{Un cookie pour qui trouve toutes les références musicales.} 



 A I M E    P A S 

- Qu'on se moque de sa tronche de gosse.
- Qu'on le harcèle pour voir son tatouage. Non c'est non, s'il voulait vous le montrer ce serait déjà fait.
- Les chatouilles. Gros gros point faible, il est chatouilleux d'un peu partout, et il en est violent dans ses réactions de défense face à celles ci. 
- Qu'on remarque qu'il est un otomen. Cauchemar.
- Les cloportes. Il les a en horreur. En. Horreur. Sans raison.
- Les voitures. Il ne les voit jamais arriver quand il traverse la route, et il lui est arrivé de se prendre quelques pare-brises.


A I M E

- Le KIWI.
- Tout ce qui est sucré.
- Les bébés. Animaux ou non.
- La couture. Et la cuisine. Et les compositions florales. Tout ça tout ça.
- Qu'on s'occupe de ses ailes. Elles sont hyper sensibles aux petites attentions. Les nettoyer ou les faire nettoyer, c'est un pur bonheur.




  H I S T O I R E 

Riquet à la houppe.

Il était jeune, il était beau, il sentait bon le sable chSBAFF ; tout petit, Regulus-le-passerouge-efféminé avait la chance de se taper une houppette indomptable sur le cuir chevelu. Genre qui résistait à tout. A TOUT. TOUT je vous dis. Gel, cire, eau, vapeurs et chaleur, plaques, bigoudis... Même la couper ne servait à rien puisqu'elle repoussait exactement la même que si elle n'avait jamais disparu ! Autant dire que... Entre sa houppette, ses airs de filles et ses goûts pour le rose et les poupées... Il y avait de quoi se moquer chez lui ! Maltraité, quand même pas, mais souvent charrié, ça, oui ! Malgré tout, Regulus restait un petit garçon tout à fait normalement constitué, il n'était ni plus petit ni plus grand qu'un autre, et ne s'habillait pas non plus avec des jupes... Otomen, déjà ; mais pas travesti ! Surtout que ses parents ne lui auraient jamais fait une chose pareille, JA-MAIS, vous pensez bien ! Bien au contraire d'ailleurs, pour contrecarrer les plans et envies de leur enfant, Monsieur et Madame Quin-Decim eurent bien tôt fait de jeter celui-ci aux mains de tous les professeurs de sports possibles et imaginables. De toute façon, ils avaient de quoi payer les leçons, alors pourquoi s'en priver ? Parallèlement et paradoxalement, le petit oiseau apprenait à cuisiner et coudre en autodidacte, ce qui n'arrangeait pas leurs affaires.

Voyage voyage !

A cause de leur travail et aussi parce qu'ils pensèrent que cela ne pouvait qu'être bénéfique pour l'oisillon d'aller et de voguer çà et là, ils l'emmenèrent partout avec eux, à l'étranger. Rarement plus d'un an dans le même pays, avec un record de trois ans, et par trois fois, pour Unys, Regulus a vu du pays, on peut le dire. Peut être même a t'il fait le tour du monde ; il le saurait sans doute s'il n'était pas si mauvais en géographie. Et s'il se souvenait à chaque fois de tous ses voyages, la plupart avaient été effectués alors qu'il était encore et déjà bien trop jeune pour s'en faire un souvenir distinct. Du monde, il en a rencontré, notamment son meilleur ami et camarade d'entraînement, otomen comme lui, à Unys, j'ai nommé Christopher Turk ; des choses, il en a apprises, mais sans jamais aller à l'école publique comme tout le monde. Non, il avait droit à un précepteur, un professeur particulier qui changeait autant de fois que lui même changeait de lieu dit « chez lui ». Le plus dur était de trouver des professeurs parlant sa langue pour lui apprendre correctement celle qu'il entendait alors dehors. Malgré tout, le jeune rapace n'a jamais réussi à maîtriser que l'Unysien ; le reste demeurait pour lui un charabia proche de l'incompréhensible, malgré ses efforts. Les langues, au final, restaient au dessus de ses capacités. Il en avait intégré une de plus ; il n'en intègre rait plus. Sa polyvalence s'arrêtait là ; encore qu'on lui demandait de savoir et savoir faire, en somme, beaucoup, beaucoup de choses. Ou plutôt, on lui demandait toujours de faire des choses masculines, et son temps libre, même très restreint, lui permettait de s'adonner à ses activités favorites, bien plus féminines.

Je ferai tout pour être vainqueur et gagner les défis !

Afin de lutter contre ces passions étranges qu'il avait pour les activités que l'on confie plutôt aux femmes, Regulus se vit forcé de tester petit à petit tous les sports possibles, et ses parents n'hésitèrent jamais à lui payer une nouvelle leçon. A force de lui faire apprendre à combattre, à toujours vouloir se surpasser, être plus rapide, plus fort, à placer ses limites plus loin que ses limites, le jeune oiseau y prit goût ; ou plutôt un sentiment d'habitude vis à vis de ces sentiments d'efforts et de volonté d'en faire toujours plus. C'est ainsi que parallèlement à ses activités, toujours aussi passionnantes et affectionnées de préparations culinaires et créations de petites peluches, le jeune gijinka n'en reste pas moins très sportif. L'adrénaline et le sentiment d'accomplissement découlant de l'effort de ses muscles lui restèrent un souvenir agréable, satisfaisant, qui aida à développer sa polyvalence, ce qui n'était pas plus mal, même et surtout pour le couple Quin-Decim. Après tout, même si leur enfant aimait les activités de femme au foyer, il n'en restait pas moins capable d'assurer une figure virile et même de s'adonner un peu au bricolage, même s'il n'accomplissait pas des exploits. Et ça, ça restait vachement rassurant pour eux ; d'autant que cela signifiait qu'il était parfaitement capable de se débrouiller et de subsister tout seul, et ça, c'était bon pour lui.

De retour, pour vous jouer un mauvais tour...

Ce fut sur le coup de ses dix-huit ans seulement que Regulus osa demander à ses parents de cesser les allées et venus partout et nulle part. Ne jamais pouvoir se poser, avoir une vie stable et des relations fixes, ce n'était pas bon pour lui. Au vu de ses efforts dans les compétences de virilité demandées par ses parents et l'expérience qu'il s'évertuait à gagner ainsi que les niveaux qu'il s'évertuait à monter, un peu de considération lui fut accordée. Après s'être eux mêmes arrangés quant aux mutations qu'imposait leur poste, Dedra et Haytham Quin-Decim purent être une fois de plus mutés à Kalos pour quelques années ; de toute façon, ce n'était pas l'argent qui leur manquait pour trouver de quoi et où vivre. Leur travail n'étant plus un obstacle au vu de leurs compétences au sein de ceux-ci, la petite famille revint à leur terre natale, où Regulus espéra enfin retrouver un semblant de vie normale. S'installa alors entre le jeune adulte et ses parents un deal : s'il continuait ainsi pendant trois ans, sans jamais baisser dans ses capacités physiques et mentales, il pourrait même vivre de lui même.

Cache tes pouvoirs plaisirs, n'en parle pas.

Le plus dur pour lui restait évidemment de montrer à quel point il était un adulte responsable, et surtout un adulte masculin, un homme, un vrai. Il ne pouvait bien sûr pas mentir à ses parents et eut à leur faire croire que, s'il n'arrivait pas à faire une croix sur la dextérité qu'il avait réussi à obtenir dans des tâches comme la pâtisserie ou la composition florale, il n'en était pas moins capable d'être parfaitement masculin dans sa façon de vivre ; que ces acquis là n'était plus d'aucun intérêt autre pour lui que de la culture générale, que seule la cuisine lui était utile afin de vivre correctement sans passer sa vie au restaurant -et ce bien qu'il eut les moyens de le faire, bien sûr, au vu de ce qu'eux mêmes gagnaient. En trois ans, il démontra facilement, en refrénant dans la sphère publique et familiale, au maximum, à l'extrême et au paroxysme ses passions pour les arts des femmes, qu'il était parfaitement capable de se débrouiller seul. Ce qui fut d'autant plus facilité par le départ imminent, à nouveau, de ses parents, suite à des besoins du métier. La chance lui souriait donc, et ils s'accordèrent sur le fait qu'il n'avait plus tellement besoin d'eux pour vivre -et qu'il n'avait plus besoin de les suivre partout, surtout. Après leur départ avec la promesse de les appeler jusqu'à ce qu'il se soit trouver un véritable chez lui plutôt que de crécher ici et n'importe où, après une embrassade émue de sa mère et une poignée de main virile de son père, le couple le laissa faire ses valises pour faire les leurs.

Cher papa, chère maman, je m'apprête à m'en aller.

Enfin libre, Regulus erra quelques mois sur la côte Est de Kalos à la recherche de THE place, celle qui lui conviendrait tout à fait, où il trouverait sa place et surtout où ses parents n'auraient pas le moyen de venir lui casser les coui pieds. Il était devenu chose courante pour lui de dormir dans les hotels, les valises jamais vraiment ouvertes afin de faciliter ses départs, bien qu'il fasse du tourisme en veux tu en voilà. Et puis un jour alors qu'il suivait cet ADORABLE petit lapin avec son pompon blanc CUTE AS FUCK, Regulus réalisa qu'il était plus tard que ce qu'il pensait, qu'il était perdu, et que bordel, ce machin n'était pas sur sa super carte électronique qui coûtait un bras ! Emerveillé, il décida que, putain, il allait peut être crécher là en fait... Si l'endroit était difficilement trouvable, ça voulait dire qu'il serait tout aussi difficilement trouvable pour ses parents. Hinhin. Liberté, liberté chérie. Au passage, il en oublia complètement sa valise restée dans un hôtel.